OCTOBRE VIDE
Où portent mes yeux brûlants d'acide
C'est encore les mêmes espaces nus
Tout me ramène à toi inexorablement
Où se posent mes doigts psychotiques
Branches sèches, vides d'émotions
Rien ne comble jamais cette absence
Emplissant la moindre de mes heures
C'est beau Keith.
RépondreSupprimerMerci Mylène
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