Je l'ai déjà dit, je l'ai même écrit plusieurs fois dans ces colonnes et s'il le fallait, j'escaladerais le Mont Rushmore pour gueuler à la face du monde : « J'AIME LES FEMMES ! ».
Ou plutôt « J'aime LA Femme » avec un grand FEU majuscule.
Ma bible en la matière demeure le texte — extraordinaire — de la chanson "Miss Maggie" de mon frangin, mon poteau : Renaud. En trois coups de stylo à bille, il rédige un manifeste fondamental tout à l'honneur de nos sœurs humaines.
Parce qu'encore aujourd'hui, il faut une sacrée paire de couilles pour être une femme. Viol, lapidation, humiliation, jet d'acide, main aux fesses, discrimination professionnelle, privation de parole, de réflexion, de liberté d'action, voilà ce que nos voisines de planète subissent au quotidien, au XXIème siècle. Et nos "grands hommes" peuvent bien agiter leurs grands bras mous, rien n'y fait : la femme qui devrait être l'avenir de l'homme n'en est toujours que son défouloir à rancœurs.
Le 8 mars 1921, Lénine décrète la Journée internationale des femmes pour l'ensemble des pays du bloc de l'Est. Le 8 mars 1977, l’Organisation des Nations Unies adopte une résolution identique pour ses pays membres. Il faudra attendre 1982, pour que François Mitterrand donne un statut officiel à cette journée en France.
Modestement, je déclare ouverte la semaine de la femme sur les pages de mon petit blog à moi, juste pour vous mes amies, mes copines, mes sœurs, mes tutrices, mes confidentes, mes bien-aimées, mes galères, parfois mes souffre-douleurs… enfin, mes dames et mes demoiselles !
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